Liberty Fizz

Comme je le précise dans mon profil, je ne suis pas une blogueuse de mode. Pour deux raisons essentielles: la première: il n'y a personne pour me prendre en photo devant une cathédrale ou une porte de garage taguée.La deuxième : j'adore la mode mais moi même je ne suis pas "stylée", par manque d'argent,de temps, d'envie, d'argent...ah non ça je l'ai déjà dit.

Mais j'erre tout de même beaucoup dans mes magasins préférés , virtuellement ou bien pour-de-vrai-dans-la-vraie-vie. Et c'est là que je dis stop. Stop au liberty. Stop aux fleurettes qui grimpent sur tous les vêtements que Dieu de la mode 2011 fait. Alors OK, c'est quioute (comprendre cute). OK ça fait très pique-nique dans le Yorkshire [pas le chien-chien à sa mémère, non, le conté d'Angleterre] avec Kate et William. OK c'est romantico-poético-bucolique. Mais trop de fleufleur tue la fleufleur. Il y en a vraiment partout et du plus ou moins joli.C'en est arrivé à me dissuader d'entrer chez H&M Interflora.

Maintenant la question qui me vient est la suivante : Quel sera le tsunami fashionistique de 2012? Car rappelez-vous, en 2010, c’était la foire à la rayure, le salon du Bateau, le remake de "La croisière s'amuse" dans tous les magasins.

Et alors la chose la plus étrange c'est qu'une force qui nous vient de chépadou, qu'on ne peut contrôler, nous fait quand même craquer pour un petit haut tout mignon en Liberty. Et ce même si on sait qu'on ne va pas briller d'originalité auprès des copines.
La vie d'une fille, c'est dur.